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Traductions de Seamus Heaney... |
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La lanterne de l'aubépine est une
traduction de The Haw Lantern (1987) du poète irlandais Seamus
Heaney (Prix Nobel de Littérature 1995). |
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La lanterne de
l'aubépine Le Temps des Cerises 1996 |
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Vision est une traduction (faite pour
le plaisir et restée inédite) du recueil Seeing Things (1991)
de Seamus Heaney. (Une traduction de ce recueil
par Patrick Hersant a été publiée en 2005 aux Éditions Gallimard sous
le titre "La lucarne"). |
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Visions Inédit 2009 |
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Deux textes du recueil d'articles Preoccupations
(1980) ont été publiés dans la revue Po&sie : Mossbawn
relate quelques épisodes de l'enfance de Seamus Heaney. Belfast,
Noël 1971 décrit les conditions de vie à Belfast à la période des
luttes civiles entres les deux communautés. |
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2 textes de Preoccupations |
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... et théâtre |
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La déportation d'Hermès est le récit du
voyage de Saint-Paul de l'Asie jusqu'en Italie. La pièce a fait l'objet
d'une adaptation radiophonique pour France Culture (Nouveau
Répertoire Dramatique, réalisation Claude Roland-Manuel, 1987).
Extraits publiés dans Digraphe (mai 1985). |
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La déportation d'Hermès |
Paul – J'entrais dans une ville haute et superbe. Tu sais comme sont les rêves : Rien n'y a l'apparence ordinaire. À ses murailles, à la couleur de ses rues, aux visages rencontrés en chemin, je reconnus Tarse, ma ville natale. Pourtant c'est bien Jérusalem qui s'ouvrait devant moi. C'était le soir. De grandes ombres s'étendaient dans les vergers en contrebas. L'air était si pur qu'on y entendait le bruit de la mer. Je me dirigeai vers le temple. Je gravis les rues escarpées, absent, comme enlevé à moi-même. Sur les marches devant le parvis se tenait un groupe. Ils se tournèrent vers moi. |
On trouvera ici les critiques des pièces vues au festival d'Avignon, initialement publiées sur Facebook. |
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Festival d'Avignon |
...Il n'y a que ces jeunes gens sur un plateau presque nu, restituant l'expérience de leurs aînés, leur surprise devant les méthodes d'enseignement de Vitez et leur gratitude, leur fascination pour l'homme et le grand metteur en scène. Il n'y a que cette parole multiple qui rappelle ce qu'on a aujourd'hui un peu oublié : que tout part du texte, que l'acteur ne doit pas chercher l'incarnation, que le théâtre est un jeu, que tout lui est possible à condition de faire sens... Il n'y a que cela, et c'est magnifique de bout en bout... |
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