Critiques
|
|
Dans un ouvrage
précédent, La
nature à Terezin, Gérard
Cartier évoquait sa visite, en 1975, au camp où
le poète Robert Desnos était mort trente ans plus
tôt. La dernière séquence, "La nuit
primitive", annonçait le livre plus ample qui
paraît sous le titre Alecto ! L'appel
à l'Erinnye jaillit du texte grave qui s'inscrit contre
l'effacement. (...) Douleur qui tend à se transmuer en une
image d'ascension après l'horreur.
Françoise Hàn
(Europe n°789-790 - février 1995)
|
|
Alecto !
(...) nous donne ce poème du génie humain
transformé en "affliction", cette histoire de la convergence
de l'horreur et de la beauté. "Qui a beaucoup
souffert", demande-t-il, "a-t-il beaucoup appris ?"
Question affreusement urgente dans cette fin de siècle.
Michaël Bishop
(The French Review vol.68 n°6 - mai 1995)
|
|
|
Alecto !
est le second livre d'un tombeau de Robert Desnos commencé
en 1992 avec la publication de La
nature à Terezin. La pagination
particulière de ce poème (...) ne permet pas ici
de développer ma présentation, dans la mesure
où il est impératif que le lecteur ait un exemple
de la façon dont fonctionne cette mgnifique machinerie
textuelle. Mais qu'on ne s'y trompe pas. Gérard Cartier
(...) est le seul poète de sa
génération à avoir réussi
à faire se tenir une tentative épique. Ceux qui
auront demain la chance de lire le vaste poème sur le
Vercors qu'annonce son éditeur ne viendront certainement pas
me démentir. Gérard
Noiret (La Quinzaine littéraire n°684 - 1
janvier 1996)
|
|
(...) belle et
large pérégrination dans les espaces de l'Europe
de l'Est, et dans les siècles de destruction.
Marie-Claire Bancquart
(Europe n°813-814 - février 1997)
|
|
|
Haut de page
|